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RECENT AND UPCOMING ENGAGEMENTS

- Verdi's La Traviata, at Opéra Clermont Auvergne and Opéra de Reims;

- Verdi's Rigoletto and Mario Castelnuovo-Tedesco's Aucassin et Nicolette, at the Opéra-Théâtre de Metz;

- Bizet's Carmen, at the Opéra Clermont Auvergne;

- Dvorak's Rusalka, at the Opéra de Reims;

- Concert
 at the Opéra de Toulon.
 

CYRIL ENGLEBERT
conductor

Cyril Englebert W.webp

BIOGRAPHY

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Young Belgian conductor, Cyril Englebert studied at the Conservatoire Royal de Liège, where he graduated in piano and conducting. At the same time, he participates in several international conducting competitions and works with renowned conductors such as Yuri Simonov, Sir Neville Marriner, Patrick Davin, Ronald Zollman, Pierre Bartholomée and Georges-Elie Octors.

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In November 2010, he was named assistant of the music director, at the Opéra Royal de Wallonie-Liège. Since then, several engagements has followed at the head of the orchestra of Liège's opera: he ensured the musical direction of performances hailed by critics such as Offenbach's La Belle Hélène, La Grande-Duchesse de Gérolstein and Orphée aux Enfers, Puccini's Tosca, L. Adam's Sybil et les Silhouettes, Berthe di Vito-Delvaux's Grétry  and Auber's Manon Lescaut.​ These opportunities allowed him to work with renowned artists: Paolo Arrivabeni, Christian Zacharias, Claudio Scimone, Jose Cura, Lionel Lhote, Sumi Jo, Sebastien Droy, Mark Rucker, Daniella Dessi and June Anderson.

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Passionate also by symphonic music, he is regularly invited by the Hulencourt Soloist Chamber Orchestra and the Orchestre Philharmonique Royal de Liège.

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At the Opéra-Théâtre de Metz, Cyril Engleber has conducted Donizetti's Don Pasquale and took over at a moment's notice the musical direction of Benatsky's L'Auberge du Cheval Blanc. Since then, he was  invited back to ensure the openings of 2018-19 and 2019-20 seasons with Gounod's Faust and Verdi's Rigoletto.

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Regularly invited by the Opéra de Reims, Englebert has already conducted operas such as Benatsky's L'Auberge du Cheval Blanc, Gounod's Faust and Verdi's Rigoletto.

 

In 2020, he conducted his first ballet, Indicible Beethoven, in collaboration with the Orchestre de Chambre du Luxembourg and the Ballet de l'Opéra-Théâtre de Metz, around Beethoven's music for quartet, arranged for string orchestra by Englebert himself and choreographed by Gil Schamber.

 

During the 2021-22 season, he has conducted the Reims opera orchestra in Bizet's Carmen. He also ensured the French creation of Castelnuovo-Tedesco's Aucassin et Nicolette. In the 2022-23 season, Cyril conducted Verdi's La Traviata, at the Opéra Clermont Auvergne and Opéra de Reims, and he made his debut at the Opéra de Toulon, conducting the music of the movie Le Cirque, from Charlie Chaplin.

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Among his next engagements, Englebert will conduct Bizet's Carmen at the Opéra Clermont Auvergne and Dvorak's Rusalka, at the Opéra de Reims, among others. 

 

Cyril Englebert is also professor of choir conducting at Institut Royal de Musique et de Pédagogie (IMEP) and Conservatoire Royal de Liège

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REVIEWS

" Dès les premiers accords arachnéens du prélude, il ne fait aucun doute qu’il y a bien un chef en fosse et on ne peut être que séduit par le travail engagé par Cyril Englebert avec les musiciens de l’orchestre de l’opéra de Reims. Quoique les incursions de ce jeune chef belge dans le répertoire belcantiste aient été rares, force est de reconnaître qu’il semble très familier avec le style verdien qu’il dirige d’une baguette pointilleuse et d’un geste élégant. Très attentif au plateau, le Maestro sait accompagner les chanteurs avec attention et tisse sous leurs voix un tapis musical soyeux et nerveux à la fois, cette Traviata ne s’encombrant pas de tempi trop alanguis ni d’une respiration trop ample. Lorsqu’un léger décalage s’instaure avec un chanteur comme au début de « Pura siccome un angelo », Cyril Englebert corrige immédiatement sa battue et témoigne par là d’une réelle attention au confort des chanteurs."
Nicola Le Clerre - Première Loge 


" On oubliera l’imprécision des cuivres dans le prélude et le début du premier acte pour ne retenir de l’orchestre que son engagement et son attention à la direction animée et inspirée de Cyril Englebert. Son souci du chant est constant et les tempi adoptés confèrent les caractères attendus à chaque séquence, de la retenue de l’air de Gilda aux accents dramatiques de l’orage qui domine la dernière scène. "
Yvan Beuvard - Forumopera.com


 

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